« CORRESPONDANCES »
Stéphan Oliva & François Raulin (pianos) lettres à…
::: LES CONCERTS :::
JEUDI 09 JANVIER 19H30 @ MC2 GRENOBLE (38) - LIEN
VENDREDI 31 JANVIER 20h30 @ LE TRITON – LES LILAS (93) - LIEN
(Invitations professionnelles sur simple demande, n’hésitez pas à nous contacter)
Après un hommage à Lennie Tristano (2002), au piano stride avec « Echoes of Spring » (2008) ou à la Bande-dessinée Little Némo (2010), Stéphan Oliva et François Raulin reviennent en duo présenter leur nouveau répertoire. Dans « Correspondances », ils laissent la porte ouverte à l’imaginaire et composent des lettres musicales qu’ils adressent à des personnalités admirées.
Les deux musiciens endossent l’habit de leurs modèles pour en saisir l’essence musicale. Un concert ludique et épistolaire où les pensées de Jimmy GIUFFRE, Henri DUTILLEUX, Hermeto PASCOAL , György LIGETI, Duke ELLINGTON, Igor STRAVINSKY, Paul MOTIAN, Martial SOLAL, LindaSHARROCK, Lennie TRISTANO, Madame BOVARY, Randy WESTON, ou encore Conlon NANCARROW s’invitent sur les touches noires et blanches.
« Un de nos très grands pianistes. Un univers poétique et rigoureux, sensuel et abstrait.» B.Loupias – Nouvel Obs, à propos de Stéphan Oliva
« … une voix singulière sur le piano et un musicien littéralement « habité ». » T.Quénum / Jazz Magazine, à propos de François Raulin
« Pas l’ombre d’une hésitation : ce duo de pianos est, de loin, la chose la plus enthousiasmante que l’on ait entendue depuis des lustres, tous jazz(s) confondus… Epoustouflants. » Bernard Loupias – Le nouvel Obs, à propos du disque « Tristano »
« Ils s’en nourrissent pour faire leur propre musique : il n’y a pas de plus bel hommage. « Pianismissime » (pardon pour le néologisme) de bout en bout, et cependant toujours profondément musical. » Xavier Prevost – Guitare et claviers, à propos du disque « Tristano »
« Deux Pianos : un chef d’œuvre » Nicolas Benies – Rouge, à propos du disque « 7 variations sur Lennie Tristano »
« Une réussite totale » Arnaud Merlin – Jazzman, à propos du disque « 7 variations sur Lennie Tristano »